Me voilà de passage dans la capitale culturelle de la Turquie. J’avoue que 24 h, ce n’est vraiment pas assez pour découvrir les 4 coins de cette magnifique ville. Mon vol fait escale ici, et il n’est pas question de passer 24 h dans l’aéroport sans sortir pour aller explorer un peu. Ça tombe bien, nous avons un ami turc. Sa famille et ses amis vivent à Istanbul. Nous avons été très bien accueillis, j’ai été totalement charmée par ces gens et cette ville.

À notre arrivée, c’était déjà le soir. Ils nous attendaient avec la table mise et un repas authentique de leur pays. À ce moment-là, je n’avais aucune idée de toute la nourriture qui nous serait offerte à goûter en 24 h… et tout était délicieux.

Puis, le soir même, nous sommes parties commencer la visite de cette ville. Pour vous mettre en contexte, Istanbul est à cheval sur deux continents. La ville est séparée par le détroit du Bosphore qui divise l’Europe de l’Asie. L’endroit est très historique et culturel. Une petite promenade de soirée à admirer les nombreuses mosquées de la ville était de mise. Le premier stop se fait donc sur une terrasse à boire un café turc (pour moi un thé, parce que le café truc est tellement fort). Nous étions sur le bord de l’eau depuis le continent européen à admirer la rive asiatique de l’autre côté du détroit. C’est donc dans les résidus du fond du café qu’ils lisent notre avenir. Puis pour la collation de soirée, des kiosques de nourriture de rue abondent. Nous avons bien compris qu’il était impossible de dire non, même si nous étions pleins. Nos amis turc nous ont fait commander un Kumpir, je n’avais aucune idée de ce que je commandais : C’est une très grosse pomme de terre entière farcie de toute sorte de drôles d’ingrédients, les uns par dessus les autres, et ça donne un mix assez surprenant.

La soirée avance, nous nous dirigeons vers un bar pour fumer de la shisha, boire du thé et jouer au Backgammon (un jeu de société populaire en Turquie). Nous avons eu beaucoup de plaisir, nous rentrons donc aux petites heures du matin pour dormir un peu.

Le lendemain matin nous allions visiter la moquée bleue et l’église Saint-Sophie (Ayasofya). Deux monuments qu’on ne pouvait pas manquer. Puis, nous avons continué de nous promener dans les rues et manger, goûter, manger et goûter… et c’était déjà l’heure de retourner à l’aéroport, les mains pleines de cadeaux et la tête pleine de souvenirs.

Pour moi et la Turquie, ce n’est que partie remise. Avant cette escale, cette destination ne m’était jamais venue à l’esprit, mais maintenant, après y avoir fait une visite express, je sais que j’y retournerai un jour.